Taaroa Dubois
Ils étaient plus de 200 rameuses, rameurs et kayakistes, samedi à Orohiti.
Depuis une ou deux saisons déjà, on a bien senti que la nouvelle génération voulait prendre position et s’affirmer dans le monde du va’a. L’histoire n’est pas nouvelle, elle paraît même logique puisqu’après tout, il est bien normal que la hiérarchie évolue et elle ne peut d’ailleurs le faire qu’en remplaçant les ténors actuels par la génération montante. Mais tout de même… Ce début de saison nous montre que le phénomène est de grande ampleur.
Depuis une ou deux saisons déjà, on a bien senti que la nouvelle génération voulait prendre position et s’affirmer dans le monde du va’a. L’histoire n’est pas nouvelle, elle paraît même logique puisqu’après tout, il est bien normal que la hiérarchie évolue et elle ne peut d’ailleurs le faire qu’en remplaçant les ténors actuels par la génération montante. Mais tout de même… Ce début de saison nous montre que le phénomène est de grande ampleur.
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