Le grand rendez-vous de l’année approche à grands pas pour les rameurs de Polynésie française qui, dans maintenant quelques jours, seront à Huahine sur la ligne de départ de la 18e édition de Hawaiki Nui Va’a. Les clubs se préparent depuis plusieurs mois déjà pour ce qui peut être considéré comme la plus grande, la belle mais aussi la plus dure course du monde.
En trois jours, pour autant d’étapes entre Huahine et Bora Bora, les rameurs devront parcourir 130 kilomètres à la force des bras et du mental. Un exploit renouvelé tous les ans par les ténors comme par les anonymes de la discipline, les premiers pour la gagne, les autres pour pouvoir dire “on l’a fait”. Shell Va’a, premier club à enchaîner cinq victoires consécutives, sera bien sûr le grand favori à sa propre succession pour placer la barre encore plus haut, comme il l’a fait dimanche dernier à laMolokai Hoe en signant un quatrième succès de rang. La carte de visite, et donc la vitrine à trophées du club cher à Albert Moux, n’en finit pas de se remplir au fil des ans, des succès et des records pour constituer un palmarès qu’il sera bien difficile à égaler un jour. Et d’autant plus que cette domination sur le va’a polynésien ne semble pas prête de s’arrêter quand on voit le renouvellement, judicieux, de l’effectif, qui n’affecte en rien ses performances.
En trois jours, pour autant d’étapes entre Huahine et Bora Bora, les rameurs devront parcourir 130 kilomètres à la force des bras et du mental. Un exploit renouvelé tous les ans par les ténors comme par les anonymes de la discipline, les premiers pour la gagne, les autres pour pouvoir dire “on l’a fait”. Shell Va’a, premier club à enchaîner cinq victoires consécutives, sera bien sûr le grand favori à sa propre succession pour placer la barre encore plus haut, comme il l’a fait dimanche dernier à laMolokai Hoe en signant un quatrième succès de rang. La carte de visite, et donc la vitrine à trophées du club cher à Albert Moux, n’en finit pas de se remplir au fil des ans, des succès et des records pour constituer un palmarès qu’il sera bien difficile à égaler un jour. Et d’autant plus que cette domination sur le va’a polynésien ne semble pas prête de s’arrêter quand on voit le renouvellement, judicieux, de l’effectif, qui n’affecte en rien ses performances.
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